Branche d'arbre partant de la gauche. Inspirée du logo de Johanna Sandretto

Depuis ton centre

Choisir le plaisir comme moteur

Qu’est que ça veut dire pour toi ?
Comment ça se traduirait dans ton quotidien ?
Et quel impact ça aurait sur ta vie ?

Portrait de Johanna Sandretto en pleine séance de chant au bord de l'eau
Branche d'arbre partant de la droite. Inspirée du logo de Johanna Sandretto

Pour moi, tout a démarré quand j’ai pris conscience que la plupart de mes décisions étaient tournées vers les autres et inconsciemment dirigées par mes peurs et mes croyances limitantes.

Je faisais pour faire plaisir, pour éviter un conflit, par facilité ou encore par obligation et ça m’ épuisait ! J’ai donc choisis de me mettre consciemment au centre de mes décisions. Quand j’ai réalisé que je n’avais pas de plaisir à effectuer la plupart des tâches de ma journée, j’ai cherché comment remettre le plaisir au cœur de ma vie et de mon quotidien.

Concrètement comment cela s’est-il traduit dans ma vie ?

Johanna Sandretto avec son bébé en portage. En plein air et souriante.

De moi à moi : J’ai retrouvé mon pouvoir et ma liberté

Pour cela j’ai commencé par un exercice tout simple :

à chaque fois que je sentais une tension dans mon corps, je m’arrêtais pour ressentir ce qui  était là et ce dont j’avais vraiment besoin. Puis je décidais.

Par exemple, je m’apprête à faire le ménage et je me sens agitée. De quoi ai-je besoin ? De mouvement, d’ordre et de propreté. Super, je valide le ménage! Ou en fait j’ai besoin de repos et j’ai envie d’être présente pour mes enfants. Est-ce que je m’accorde 1 heure ? Est-ce qu’avec mes enfant on peut transformer ça en un temps de jeu et de coopération ? Est-ce que je peux tout simplement lâcher prise sur le ménage pour aujourd’hui ? Bref, j’élargis le champs des possibles pour choisir en conscience.

Ça a été tellement transformateur !

J’ai musclé ma capacité à comprendre ce qui est vraiment important pour moi dans l’instant ainsi qu’à prioriser mes actions. Je me suis rendue compte que j’étais la seule à m’imposer autant de choses et que mon système de pensée s’était rigidifié. J’avais perdu ma capacité à suivre le flow. Alors, une action à la fois, je suis allée récupérer mon pouvoir dans tous ces petits espaces où je l’avais abandonné.

J’ai arrêter de me forcer à quoique ce soit, ce qui m’a permis de préserver mon énergie. Je me suis autorisée à prendre du temps pour moi quotidiennement même si je n’avais que 10 min et même si mes enfants auraient préféré qu’il en soit autrement… J’ai appris à poser des limites claires et j’ai vu mon conjoint s’adapter avec facilité, mes enfants (en bas âge!) gagner en autonomie et renforcer le lien qu’ils ont avec leur père ainsi qu’entre eux. Cette nouvelle posture intérieure a fait bougé les lignes de notre dynamique familiale et nous a permis de trouver un équilibre sain pour tous. J’ai arrêté de culpabiliser !

J’ai pris conscience que le fait de voir et de reconnaître mes besoins inassouvis m’apaisait.

J’ai retrouvé ma souveraineté en comprenant que lorsque je ne répondais pas à certains de mes besoins dans l’immédiat, j’avais déjà choisi de répondre à d’autres de mes besoins comme l’intégrité, la responsabilité… Agir avec cohérence m’a reconnecté avec une forme de plaisir : la satisfaction.

J’ai voulu aller plus loin en me demandant pour chacune de mes actions : comment puis-je avoir encore plus de plaisir ?  Ranger en musique, sentir la terre sous mes pieds et le balancement de mon bassin en berçant… J’ai grandi en présence dans mon quotidien et j’ai intégré que je suis celle qui crée ma réalité !

Comment cela a impacté ma vie ?

J’ai arrêté de râler, de lancer des pics et de crier à tout bout de champ. J’ai retrouvé des espaces de respiration, de la joie et j’ai gagné en sérénité.

Portrait de Johanna Sandretto allongée avec son bébé. Moment mère enfant.

De moi à mon mec : J’ ai décidé d’être le plus possible centrée et alignée lors de nos conflits.

Concrètement comment ça se traduit ?

Lorsqu’une dispute éclate, je refuse de rentrer dans un jeu de ping-pong verbal. Je refuse de me laisser balader par mes jugements ou les histoires que je me raconte car cela m’éloigne de ce qui se vit dans mes profondeurs. Je reviens dans mon centre pour ressentir ma colère ou ma tristesse, respirer avec, les écouter et les laisser circuler. Je prends soin des parts de moi blessées, jusqu’à ce que j’ai retrouvé suffisamment d’espace pour revenir apaisée, offrir mon écoute et ouvrir un vrai dialogue.

Le plus difficile pour moi a été d’avoir la patience de différer nos discussions. J’avais la croyance que pour aller mieux, pour sortir de cette crise émotionnelle,  j’avais besoin de l’autre, de sa compréhension et de réparation. En devenant responsable de mes émotions, je me suis libérée de l’emprise de cette croyance. Mes émotions me parlent de moi et non de l’autre. J’ai pris conscience que ce dont j’avais besoin avant tout , c’était de moi. Je ne me sens pas entendue ni respectée. Peut être est-ce vrai ? Mais est-ce que je m’écoute ? Est-ce que j’entends les messages de mon corps ? Est-ce que je me respecte dans mes valeurs et dans ma posture ?

Cet alignement m’ a donné la force de traverser les moments d’inconfort et d’aborder les sujets à haut potentiel de dispute (comme je les appelle:). A partir du moment où j’ai senti que j’avais mes arrières, j’ai commencé à offrir ma compassion, mon pardon et ma patience.

Dans les moments particulièrement difficiles, je me tourne vers ma présence. Elle me ramène toujours dans l’espace de mon cœur dont la sagesse est d’une grande justesse pour ma vérité. Son intelligence réuni là où ma tête divise.Mon cœur m’a ouvert à une nouvelle dimension de mon Être et de l’Amour. Il m’a élevé reine et souveraine.

Quel impact cela a eu sur notre couple ?

Nous sommes devenus des alliés ! Nous n’avons plus passé le peu de temps qui nous été imparti à nous disputer mais à échanger de manière constructive et à profiter de la présence de l’autre. Nous avons retrouvé de la complicité.

Tabourin de méditation de Johanna Sandretto. Utilisé lors des séances de Mam'en Présence

De moi à mes enfants : Je me suis remise au centre de ma parentalité.

Concrètement comment cela s’est-il traduit ? A chaque enfant son enseignement:

Avec mon premier, j’ai compris que mon enfant n’avait pas besoin d’une mère parfaite mais épanouie ! Je voulais tellement lui offrir ce qu’il y avait de mieux pour lui que je m’étais tournée vers l’extérieur pour trouver des réponses. J’avais oubliée que j’étais la personne la mieux placée pour accompagner mon enfant et surtout que quand maman va, tout va ! Alors je me suis réintroduite dans l’équation : est-ce que ça me convient, à moi, de continuer à dormir avec bébé ? De poursuivre l’allaitement ? De passer au biberon ? J’ai découvert que les enfant s’adaptent avec une grande facilité quand nos choix sont clairs et assumés.

Avec ma deuxième, j’ai arrêté de vouloir tout contrôler tout le temps ! La spontanéité et l’imprévu ont retrouvé une place dans nos vies. Allez, on part en balade pour la journée ! Non, ça va décaler ses horaires de sieste, elle ne sera pas dans son lit. Et puis si ! Comment va t-elle faire sa sieste ? Je ne sais pas mais on va trouver : en voiture, en poussette, en écharpe…Arrêter de projeter mes peurs sur l’avenir m’a permis de me détendre et d’alléger ma charge mentale au passage. J’ai pris confiance en ma capacité à gérer les situations imprévues.

Avec ma troisième, je me suis laissée guider par ma présence et je me suis puissamment reconnectée à mes instincts. Je me suis appuyée sur ce qui était présent pour nous deux dans l’instant. Mon écoute envers les signaux et les messages qu’elle m’envoyait, a grandi. Je me suis rendue compte que les bébés sont capables de coopération et ce depuis le tout début, dans le ventre de maman. Nous sommes devenues une équipe.

Avec mes trois enfants, j’ai appris à m’assumer.

Je me sentais souvent impuissante voir démunie face aux frustrations et aux colères de mes enfants.  D’abord parce que j’avais encore des difficultés à accueillir mes émotions et ensuite parce que j’étais uniquement centrée sur eux. J’ai commencé par apprendre à « gérer » mes émotions. Je ne pouvais pas leur offrir ce que je ne m’offrais pas. Puis je me suis recentrée : lors d’un conflit avec mes enfants, je me demande comment est-ce que je me sens face à cette situation. Moi, pas eux ! Je me suis autorisée à sentir mes limites, à parler depuis l’énergie de la colère si tel était le cas, sans pour autant être malveillante. M’appuyer sur ce qui est vivant en moi dans l’instant plutôt que sur des stratégies de parentalité a été une vraie source de libération. Mon désir d’authenticité m’a permis d’assumer que je ne suis pas toujours égale dans mes humeurs ni dans ma capacité d’accueil. M’autoriser à incarner aussi cela auprès de mes enfants fait sens à mes yeux. C’est un réalité inhérente à notre humanité.

Une autre de mes difficultés était que je ne savais pas comment me positionner pour respecter le rythme et la liberté de mes enfants tout en leurs offrant un cadre avec des limites claires. J’ai pris un temps de réflexion pour comprendre quelles sont mes valeurs fondamentales et non négociables. Cela a fluidifié ma prise de décision et m’a permis de trouver cet équilibre.

C’est comme ça que j’ai appris à dire Non avec bienveillance, à tenir ma posture en leur offrant ma compréhension. Je me suis réconciliée avec mon autorité naturelle pour le plus grand bonheur de mes enfants. J’ai remis du sens dans ma maternité. Je me suis reconnectée à ma sagesse unique pour guider mes enfants avec bienveillance et assurance.

Quel impact cela a eu sur notre relation ?

Cela a renforcé nos liens. La coopération et la complicité ont retrouvé leur place dans notre quotidien. Nous cultivons des relations familiales saines et authentiques.

Regarder la vérité en face et choisir mon quotidien comme terrain d’exploration m’a demandé du courage, mais ce fut un véritable chemin de libération et d’empuissancement qui m’amène à incarner un peu plus chaque jour l’amour et l’authenticité.

Je t’accompagne :

à  définir avec précision ce que « te remettre au centre de ta vie et choisir le plaisir comme moteur » veut dire pour toi, ainsi qu’à identifier avec clarté les freins et les croyances qui t’en empêchent. Je suis une présence à tes côtés dans les moments difficiles, je te partage ma médecine du rire pour ramener de la légèreté dans ce processus de transformation. Une étape après l’autre tu ajuste ta posture intérieure, je deviens le témoin de ton empuissancement.

Je m’offre cet accompagnement pour :

640 euros

Comment :

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8 séances, idéalement sur 4 mois

On alterne temps de présence et de coaching.

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Je m’offre cet accompagnement pour :

640 euros

Afin de savoir si nous sommes les bonnes personnes l’une pour l’autre, appelles moi et prépares 3 ou 4 situations de ton quotidien qui te posent soucis.